Vous le connaissez, ce besoin ?
Celui de prendre l’air, vite, loin de la foule, loin de la 4G et du wi-fi. Loin. Ma tête et mon corps m’ont hurlé de fuir, tout l’été, pour que finalement je me décide, un peu au dernier moment, à m’exiler une semaine, dans les Pyrénées.
Le prétexte ? L’occasion de tester à nouveau le X-Trail de Nissan, cette fois-ci en montagne et l’été (après le test sur routes enneigées, cet hiver). L’envie, aller manger des micro-routes pleines de cailloux, taquiner le hors piste et embarquer les deux chiens au vert.
Et toujours l’envie de faire de belles images, de raconter des histoires…
L’une de mes excursions préférées, sur cette semaine, a été la découverte de ce plateau, dans la brume, à proximité de Mijanès. Les paysages étaient si changeants, d’un moment à l’autre… Il ne s’agit en fait pas de brouillard mais d’un moment où on avait bel et bien la tête dans les nuages, au sens littéral. De quoi se raconter quelques histoires de farfadets, de dahu, d’esprits de la montagne… si tant-est que l’on puisse y croire.
Le calme, le silence, les cloches des vaches qui tintent au loin et parfois un peu trop près pour que je sois rassurée. Mais elles sont si jolies ces vaches et leurs petits veaux adorables. Et puis cette petite tête de chèvre, supposée susnommée Joséphine, immortalisée le temps d’une photo.
Ces quatre photos sont signées www.lqqz.fr
Le fait de disposer du Nissan X-Trail m’a permis très clairement de profiter d’un certain confort sur les petites routes, pour marquer des arrêts sans stress en hors-piste, pour vadrouiller où on voulait quand on voulait même sur des petits chemins moins évident.
Ce crossover, je vous le disais déjà, est vraiment très maniable et ses équipements d’avertissement et d’accompagnement de la conduite permettent vraiment de se sentir en sécurité, accompagné. Cela n’empêche pas la prudence et une petite maîtrise sur certaines routes. Mais il est des excursions que je n’aurais même pas tenté sans ce véhicule.
De plus, pour ce long voyage qui nous a mené de Paris à Puyvalador, il a été vraiment très appréciable de pouvoir abaisser la banquette arrière et d’installer confortablement les chiens et leurs paniers, entre nous et les valises. Ils étaient à l’aise et avaient la place nécessaire pour s’étendre tranquillement. Comme quoi, il y a toujours des solutions pour prendre ses animaux en vacances. Je ne vous le cache pas, j’ai eu un peu de mal à trouver un Airbnb qui acceptait les chiens mais le petit chalet sélectionné a été parfait. En prenant le temps, en s’organisant, avec le véhicule adapté… les solutions existent. Et pour le coup, si vous cherchez un véhicule qui s’adaptera aux excursions avec vos chiens, celui-ci est vraiment un bon choix. Sans hésitation.
Photo Nissan X-Trail par www.lqqz.fr
Quelques photos, maintenant, d’une excursion marquante.
On cherchait un lieu exempt de toute population, de toute pollution lumineuse, en altitude, au bord d’un lac. Dans les Pyrénées, il n’y a que l’embarras du choix mais la plupart des spots très accessibles sont pris d’assaut par les touristes et familles (oui, oui, je sais, touristes nous étions également).
Sur les conseils de mes parents, qui connaissaient très bien la région, nous avons opté pour le Gorg Estelat, un lac en altitude, accessible via sentier de randonnée…
Aparté rando’ : attention, si vous êtes tentés, c’est chaud. Une fois sortis du village de Nohédès, nous avons suivi une route de montagne (qui fait partie des routes que je n’aurais clairement pas tenté sans le X-Trail car très « caillouteuse », étroite, qui grimpe sec avec des virages en épingle et pour ainsi dire zéro-place pour se croiser). Ceci-dit, c’était le pied total de pouvoir y rouler. J’ai adoré. Pendant une demie-heure, on grimpe, on grimpe en voiture. Puis une fois le Col du Perthus atteint, il faut continuer à pied car la route est barrée quoique toute aussi accessible. S’en suit 1h30 à 2h de grimpe, d’abord sur sentier, puis dans les rochers. Heureusement, la vue est absolument superbe du début à la fin. Et à la fin… à la fin… magnifique. On oublie que les muscles souffrent et on savoure.
Je ne vous le cache pas, la nuit, malgré la tente et les sacs de couchage, il a fait froid. Très froid. Mais cela en valait clairement la peine, en témoigne cette photo de dingue de la voie lactée, capturée cette nuit là.
S’éloigner autant des lumières de la ville, être autant au calme, cela aurait été plus difficile sans le joli crossover tout terrain. Il en aura mangé, de la route. Et il en a vécu, des aventures ! Je suis à peu près certaine que je vais lui manquer autant qu’il va me manquer.
Et vous, où partez-vous lorsque vous avez besoin de vous couper de votre quotidien ?